Mardi 5 Juillet
Résumé : De Montecristi à Cabarete.

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Aujourd'hui nous quittons l'ouest du pays ignoré des touristes pour aller vers l'est, on choisit de faire étape à Cabarete. Le trajet Montecristi - Cabarete n'est pas évident, il se fait en trois étapes. Un premier bus nous laisse sur la route de Santiago devant la station des taxis collectifs allant à Puerto Plata. Notre taxi ressemble aux taxis-brousses africains, on est entassés à sept dans un véhicule prévu pour cinq, il n'y a pas de place pour nos bagages, nous en sortirons complètement ankylosés. Le trajet d'une heure se fait sous une averse tropicale interminable. C'est le cyclone Dennis qui se fait sentir jusqu'ici. Les rues de Porto Plata sont recouvertes de 15 à 20 cm d'eau, notre taxi fait des gerbes d'eau de deux mètres de haut. On nous dépose à la gare routière d'où partent les guaguas pour Cabarete.

Arrivés à Cabarete, nous découvrons par hasard (c'est en fait un Dominicain qui nous y a guidé) le restaurant qui offre le meilleur rapport qualité prix. Il n'est pas dans les guides car probablement trop récent, il s'agit du restaurant « La Movida » à 300 mètres de la route principale en direction du « Cabarete Nature Park », il offre de bons menus à 300 pesos. Enfin, entre deux averses nous allons réserver une chambre à l'hôtel Koaba.

Délivrance ! il y a en ville des distributeurs de billets devant toutes les banques, nous sommes enfin sauvés. Dommage, on à maintenant plein d'argent, mais il n'y a plus grand-chose d'intéressant à faire. On va se contenter de faire trempette dans la piscine de l'hôtel ou sur la plage entre deux averses. Comme dans toutes les stations balnéaires on a droit à une suite ininterrompue de magasins de souvenirs et de restaurants. Rien de bien palpitant après ce qu'on à pu voir dans la moitié ouest du pays.

Le soir, les restaurants de la plage nous semblent peu intéressants par rapport à celui qu'on a découvert à midi, on y retourne (un « must » dans ce restau : le poisson à la noix de coco). Cela nous permet aussi de quitter la zone touristique et donc de parcourir la partie de la ville restée authentique avec quelques maisons traditionnelles, des petits commerces, les habitants et les animaux dans les rues....

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