Mercredi 29 Juin
Résumé : Arrivée à Santo Domingo.

hr

arriere arriere index carte avancer

hr

Navigation
rapide
Arrivée tardive à l'aéroport de Santo Domingo. Dès la sortie de l'aéroport nous sommes submergés de propositions en particulier de soit-disant chauffeurs de taxi qui ont à la main un petit panneau « taxi » et qui exhibent une carte plastifiée « certifiant » qu'ils sont des chauffeurs de taxi officiels. Bien sûr tout cela est factice, et nous allons nous faire arnaquer, mais c'est toujours comme ça lorsqu'on débarque dans un pays pour la première fois. C'est d'ailleurs la seule arnaque dont nous serons « victimes » dans ce pays.

Nous allons rapidement découvrir que les prix ont valsé dans tous les sens, le taux de change du pesos a varié du simple au double en peu de temps. Résultats, la plus part des prix ont monté vertigineusement, par exemple, les prix annoncés pour les hôtels de la moitié ouest du pays dans le GdR 2005 sont à multiplier par trois ou même davantage (ces prix n'ont pas été réactualisés depuis la sortie du guide). Par contre, pour une raison mystérieuse, certains prix ont baissé vertigineusement, c'est en particulier le cas des taxis. Notre pseudo-chauffeur de taxi nous demande 1000 pesos, ce qui est a priori honnête conformément au guide, nous acceptons donc sans discuter. Mais plus tard, pour le trajet inverse avec un vrai taxi le prix annoncé sera moitié moins cher. Bref, les taxis officiels sont juste à gauche de la sortie de l'aéroport (bien cachés par la foule qui attend devant l'aéroport).

Nous descendons à l'hôtel El Hidalgo, nous sommes prévenus par le GdR, c'est en principe un hôtel cra-cra, mais il est bien situé pour prendre demain matin le premier bus pour La Descubierta. Nous confirmons, cet hôtel est vraiment crade de chez crade, aucun entretient. L'un des deux lits de notre chambre est au milieu de la pièce car il n'y a pas de place pour le pousser contre un mur. Les murs et le plafond sont lépreux, de grandes plaques de plâtre sont déjà tombées ou sont prêtes à tomber. Et pour couronner le tout, pas de courant électrique dans le quartier, donc pas de ventilo, les moustiques vont donc pouvoir baffrer tranquillement toute la nuit.

hr

arriere arriere index carte avancer